Quand jâai accouchĂ©, on mâa dit : « Il faut tout un village pour Ă©lever un enfant. » Aujourdâhui, je peux vous dire quâil en faut deux pour faire grandir une start-up.
Parce qu'entreprendre, ce nâest pas juste « kiffer sa libertĂ© » et « disrupter des marchĂ©s ». Câest se lever avec 1000 idĂ©es et se coucher avec 1000 doutes.
(Quand on a le luxe de dormir, Ă©videmment). đ
Et dans tout ce chaos, on a besoin d'alliés. Des vrais.
Nos investisseurs en font partie.
Mais je ne parle pas ici dâun chĂšque et dâun pouce levĂ© en visio chaque trimestre.
Je parle de gens qui s'impliquent, qui s'exposent, qui prennent des risques avec toi. Je parle de gens qui :
đ dĂ©cryptent tes silences.
đ te disent ce que tu nâas pas envie dâentendre.
đ tâaident Ă transformer une intuition floue en plan dâaction clair.
Parce que oui, les boards, câest bien.
Mais câest souvent trop espacĂ©, trop superficiel, trop poli, trop verni. Trop loin du rĂ©el.
Alors chezJobloom, j'ai voulu faire autrement.
On a organisé notre tout premier Investor Day avec des ateliers de réflexion. Et on a travaillé, ensemble.
Et franchement ?
Cela m'a fait beaucoup de me sentir soutenue et entourée.
Câest ça, la smart money pour moi. đ
Pas juste du cash mais de lâĂ©coute, du cerveau, du temps offert.
Le plus dur maintenant ?
Faire durer ça. En faire une habitude. Un réflexe collectif. Et amplifier encore la dynamique.
Ă tous ceux qui investissent avec le cĆur, la tĂȘte et le temps : merci. đ
Vous ne financez pas juste des boĂźtes.
Vous aidez Ă rendre lâimpossible⊠un peu plus possible.
Et pour nous, fondateursâŠ
ça change tout. Vraiment.